1914-1918, la Première Guerre mondiale - 5 documentaires - Volume 1

 

1900-1914 : Prélude à la Guerre Tout semble aller pour le mieux dans le meilleur des mondes. Les Années Folles battent leur plein. Dans la riche Europe, mais aussi en Amérique, on s'amuse. Le cinéma, devenu art majeur, fait des débuts tonitruants. Les foules euphoriques s'y précipitent et savourent les actualités de l'époque. Personne ne perçoit vraiment les bruits de bottes qui commencent à faire trembler le vieux continent. D'un côté le vieil Empire et de l'autre le Communisme, qui frappe à la porte des pays nantis. Jusqu' à ce fameux 28 juin 1914 où l'héritier du trône Austro-hongrois est assassiné. La guerre semble désormais inévitable. L'Europe va s'embraser, et bientôt le monde.

 

1914-1917 : Le Réveil de l'Amérique L'Europe est à feu et à sang. Pourtant, le président américain Woodrow Wilson veut rester neutre, car il commerce encore avec les deux camps. Mais, en 1915, le torpillage du paquebot Lusitana par un U-boot allemand, et la mort de nombreux passagers américains, alertent l'opinion publique. Wilson doit revoir ses positions. En 1917, les jeunes soldats américains rejoignent Français et Anglais, qui les appellent les Sammies recrues de l'Oncle Sam. Inexpérimentés mais très bien équipés, les jeunes Américains se jettent à corps perdu dans la bataille de l'Argonne.

 

1914-1916 : De Mons à la Somme Pour l'Allemagne, la situation est simple : le plan von Schlieffen prévoit de violer la neutralité belge pour arriver plus vite en France. Mais contre toute attente, les Belges et des renforts anglais résistent et bloquent onze jours les troupes allemandes. Le front est mouvant, les deux camps se précipitent dans la "course à la mer". Pourtant, aucun des deux ne gagnera. Le front se rigidifie. Et les deux armées s'enterrent dans les tranchées, jusqu' à la terrible bataille de la Somme où le terrain se gagne ou se perd, pas à pas. Un DVD sur des pages héroïques, où la stratégie se dispute au courage...

 

1916 : La Bataille de la Somme Avec ses avancées puis ses reculades, ses percées sans caractère déterminant, la Bataille de la Somme est l'un des épisodes exemplaires de ce qu'on allait appeler "la guerre des tranchées". L'objectif était, pour les Alliés, de briser le front de l'Ouest. Mais 60 000 soldats britanniques y furent tués ou blessés. Ce documentaire original (muet) a été restauré par The Imperial War Museum pour donner aux images une valeur exceptionnelle, à la fois témoignage et document. Un accompagnement au piano reprend les airs de musique emblématiques joués dans les cinémas de l'époque.

 

1916 : La Bataille de l'Ancre Ce DVD fait le pendant de celui de la bataille de la Somme. Il achève le portrait d'un des épisodes les plus dramatiques de l'histoire. La bataille de l'Ancre se déroule à l'automne 1916, dans un paysage de pluie et de boue. Son originalité : elle correspond à la première utilisation de tanks dans l'histoire. Ceux-ci devinrent très vite populaires et forcèrent l'admiration. Ce film original (muet) a été restauré par The Imperial War Museum et constitue une grande valeur documentaire. Un accompagnement au piano reprend les airs de musique emblématiques joués dans les cinémas de l'époque.

Commandez ICI

1914-1918, la Première Guerre mondiale - 5 documentaires - Volume 2

 

1917-1918 : Le vent tourne Sur le front de l'Est, les Allemands sont venus à bout de la Russie, après avoir aidé Lénine dans sa prise de pouvoir. Ainsi, celui-ci se retire du conflit et le Kaiser peut basculer ses forces sur le front de l'Ouest, où les Américains, plus frais, font déjà des ravages. Offensives et contre-offensives sont violentes comme jamais. Les Allemands s'enlisent, mais résistent toujours pied à pied. Les forces alliées les repoussent tout de même. Les Américains rêvent même de marcher sur Berlin. Mais le 11 novembre 1918, c'est l'Armistice...

 

1914-1918 : Les Chefs militaires Ils incarnaient l'honneur et la bravoure de leurs pays respectifs. L'époque était encore à la guerre traditionnelle, avec ses codes d'honneurs, ses rituels et ses faits d'armes. Les chefs de guerre étaient sans doute les personnages les plus admirés de leur époque. "Le vainqueur de Verdun", Philippe Pétain, reste le héros incontournable qui a su mater les mutineries de 1917 et remonter le moral des poilus. Tandis que Georges Nivelle demeure surtout dans les mémoires comme "Le Boucher", intransigeant lors de la bataille du Chemin des Dames. Quant aux Allemands, gloire est faite à Von Hinderburg et Helmut Von Molkte, grands stratèges.

 

1914-1918 : La Marine et l'aviation Les avions de cette période furent d'abord utilisés dans un rôle d'observation, pour régler le tir de l'artillerie ou pour déposer et récupérer des agents derrière les lignes ennemies. Les pilotes n'ont alors que leur arme individuelle à bord. Pourtant dès septembre 1914, grâce aux renseignements fournis, l'aviation va permettre de gagner la bataille de la Marne. Puis les premiers essais de bombardement ont lieu dès août 1914, avec par exemple des Voisin de 140 CV, et les avions sont progressivement munis de mitrailleuses. Quant à la Marine, il est évident que la grande nouveauté et le grand vainqueur est le sous-marin, notamment le U-boot allemand...

 

1914-1918 : Rétrospective Ce documentaire retrace, dans l'ordre chronologique, les évènements les plus importants, mais aussi les plus dramatiques de la Grande Guerre, de 1914 à 1918. On y retrouve la Mobilisation générale des soldats, leur départ au front, les adieux à leurs familles. On découvre leur vie dans les tranchées, dans des conditions de vie épouvantables. On y assiste aux préparatifs défensifs, aux combats larvés, sporadiques. On y découvre l'absurde et l'incompréhension de cette guerre d'attente.

 

1918-1919 : Bilan de la guerre Après les affrontements d'une brutalité inhumaine, après les tranchées, le froid, la famine et les épidémies, c'est enfin l'Armistice. Et c'est l'heure du bilan, le difficile retour à la vie quotidienne. On compte les disparus, les pertes matérielles. Et l'on rend de vibrants hommages à ceux qui, combattants héroïques, ont donné leur vie pour leur pays. Mais la signature du Traité de Versailles sera tellement sévère pour les Allemands qu'ils n'auront de cesse de se venger de cette Grande Guerre perdue, et de recommencer, alors que ce devait être la "Der des Ders".

Commandez ICI

1914-1918, la Première Guerre mondiale - La bataille de Verdun - 1916

 

A l'aube du 21 février 1916, un fracas indescriptible s'élance des lignes allemandes qui font face à Verdun. Les poilus, qui tiennent les tranchées creusées en urgence dans ce secteur jusqu'alors calme, voient fondre sur eux un déluge d'obus sans précédent.

 

Quand le tumulte s'arrête enfin, les survivants engagent une résistance qui durera plusieurs mois.

 

Conçu par le général Falkenhayn comme un moyen de "saigner à blanc" l'armée française, l'enfer de Verdun signe l'avènement d'une nouvelle forme de guerre, la plus meurtrière qui l'on ait connue jusqu'alors. Le général Pétain a pour mission de sauver à tout prix la place forte, au risque de tomber dans le piège de "l'usure" que lui tend le commandant en chef allemand.

Commandez ICI

1914-1918, la Première Guerre mondiale - La bataille de la Somme - 1916

 

Le 1er juillet 1916, 7h30. La grande offensive alliée, attendue depuis des mois par le général Joffre - dont les armées françaises sont retenues à Verdun -, démarre sous un grand soleil d'été. Après une semaine d'une terrible préparation d'artillerie, les fantassins britanniques s'élancent des parapets, baïonnettes en avant, en direction des tranchées ennemies. Inexpérimentés, ces soldats fraichement engagés dans l'armée de volontaires de Lord Kitchener sont inexorablement fauchés par les mitrailleuses allemandes.

 

Campés sur les positions solides qu'ils tiennent depuis 1914, les hommes du général von Below ne semblent pas avoir été ébranlés par l'interminable déluge d'obus qu'ils viennent d'essuyer. A la fin de la journée, ils ont tué près de 60 000 attaquants. Et la bataille, qui durera plus de quatre mois, ne fait que commencer...

Commandez ICI

 

Airs et marches célèbres de la Grande Guerre 1914 - 1918, CD remastérisé RDM-Edition.

La Musique des gardiens de la paix est un ensemble musical de la Préfecture de police de Paris, dépendant du service de la mémoire et des affaires culturelles.

C’est en 1919, à l’initiative du brigadier-secrétaire André Martin, qu’est créée sous une forme associative "l'Union musicale du 7e district", ancêtre de la Musique des Gardiens de la paix.

À cette époque, les musiciens sont recrutés parmi les effectifs des commissariats du XVIIIe et du XIXe arrondissement. Il s’agit d’une soixantaine de musiciens occasionnels qui doivent répéter en dehors des heures de service, avec de très faibles moyens.

Grâce à l’investissement personnel du brigadier Martin et l’appui des commissaires Challier et Metten, "l’Union musicale du 7e district" parvient très vite à gagner ses lettres de noblesse dans le monde de la musique, mais surtout au sein de son administration.

À cet égard, le concert du 25 novembre 1923, offert aux familles des gardiens de la paix, constitue une étape capitale. En effet, ce jour-là, non seulement le Préfet de police honore le concert de sa présence, mais surtout quitte la salle tout à fait ravi par la qualité de la prestation.

Ainsi en novembre 1923, l’Union musicale de la Préfecture de police est une formation reconnue. Néanmoins, une scission de l’harmonie intervient et débouche sur la création d’une nouvelle association dirigée par Jules Bleu : l’Union musicale et chorale de la Préfecture de police voit le jour en novembre 1925.

C’est à la faveur du centenaire du corps des gardiens de la paix que le Préfet de police, Jean Chiappe, officialise le 31 mars 1929 l’Union musicale en l’intégrant à la Police municipale sous l’appellation de Musique des gardiens de la paix de Paris. 

Le 21 juillet 1954, Désiré Dondeyne (1921-2015) prend ses fonctions à la tête de la formation.

Avec Désiré Dondeyne, les musiciens de la formation voient arriver une personnalité musicale de premier plan : clarinette solo de la Musique de l’Air, titulaire de sept Premiers prix du Conservatoire de Paris. La première œuvre mise au pupitre est l’Ouverture Manfred de Schumann.

Si le chef sent qu’il y a beaucoup de travail à fournir, il s’aperçoit que ses musiciens ont un certain talent, certains sont même titulaires de prix de conservatoires nationaux. Néanmoins, le statut principal de policier en "compagnie de réserve" ne facilite guère le travail de fond d’une formation au potentiel prometteur. C’est grâce au travail acharné de chaque musicien conduits par leur infatigable chef que la reconnaissance arrive en 1962 sous la forme d’un arrêté préfectoral instaurant un double statut de policier affecté à une spécialisation de musicien sans autre activité.

Dès lors, la Musique des gardiens de la paix recrutant aux plus haut niveau des conservatoires nationaux, ne cessera porter haut le prestige de son institution de tutelle.

Commandez ICI